Dracula Technologies veut lever 3 à 4 millions pour faire du made in France

Dracula Technologies, jeune pousse drômoise innovante veut se doter d'une première ligne de production à Valence afin d'industrialiser son procédé Layer.

Après que son procédé de rupture - fabrication sur une surface souple de cellules photovoltaïques par impression 3D - baptisé Layer, a fait ses preuves sur des petites séries, Dracula Technologies, jeune pousse drômoise, veut aujourd'hui l'industrialiser en France. Aussi annonce-t-elle travailler à une levée de fonds "entre 3 et 4 millions d'euros" afin de se doter d'une unité de production à Valence, en 2019. Seule startup française, primée lors du "Hello Tomorrow Challenge" 2017 organisée par l'association éponyme en octobre, Dracula Technologies a été mise en contact avec de possibles investisseurs financiers, dans ce cadre.

Un bureau aux Etats-Unis

Dracula Technologies, présidé par Brice Cruchon, a finalisé, début 2017, une première levée de cash (1,8 million d'euros) auprès de business angels, Finance et Technologie, la Bpifrance et Banque Populaire AURA. Fondée en 2012 à partir de travaux effectués par différents organismes, CNRS et CEA, la société a déjà été accompagnée dans son développement par des groupes comme Dassault et Airbus.

A l'heure où les objets deviennent de plus en plus connectés, Layer garantit un usage augmenté en leur fournissant un approvisionnement énergétique nomade. Mais la technologie intéresse également l'univers industriel.

Dracula Technologies emploie 11 salariés et s'est dotée d'un bureau aux Etats-Unis. Ses ventes 2016 se sont élevées à 250 000 euros.

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