Crise de l'emploi, morosité, défiance... Les jeunes diplômés ne trouveraient-ils plus dans leur pays les conditions nécessaires à la réussite d'un bon projet professionnel ? C'est un fait : le taux d'expatriation et l'exil volontaire sont des phénomènes en forte hausse chez les jeunes (+6% en 2014). Mais même s'il s'agit d'une hausse conséquente dans les 10 dernières années il faut garder en tête que L'Allemagne et le Royaume Uni font bien mieux, avec respectivement 9 et 11%. L'une des raisons ? Cette mobilité qui semble plus évidente pour les jeunes générations, a été aidée en France par une contribution de l'Etat à travers différentes actions et programmes (Erasmus Plus- Volontariat International en Entreprises. etc...).
Mais s'il semble acquis que l'expérience en terre étrangère dans des pays plus ou moins lointains est valorisante à bien des égards pour la personne envoyée vers des challenges nouveaux, il est sans doute nécessaire de se poser la question de la pertinence pour l'employeur de ces choix d'exil : quels intérêts les entreprises ont-elles à envoyer leurs meilleures recrues vers des "hubbs" internationaux considérés comme plus dynamiques et compétitifs ? Quels sont les écueils à éviter ? Les bonnes pratiques à mettre en place et les « incontournables » à connaitre ?
Réponses lors d'une conférence-débat animée par Niki Papadopoulou
Avec :
- Carole Granade-Segers, Présidente de l'accélérateur «Boost In Lyon».
- Martine Le Boulaire, directrice du développement - Entreprise et Personnel.
- Thierry Bourgeron, directeur des ressources humaines - Groupe GL Events.
Mercredi 7 octobre 2015 de 18h30 à 20h00.
INSEEC : Ecole de commerce et de Management
25 rue de l'Université
69007 Lyon
Cette conférence a eu lieu le mercredi 7 octobre 2015.
>> Consultez le compte-rendu
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