Après plus de deux ans de combat pour sauver leur entreprise, les salariés isérois d'Ecopla, candidats à la reprise de leur société, avaient jeté l'éponge. La "période de construction" ouverte avec le repreneur italien Cuki n'a pas abouti et le site de Saint-Vincent-de-Mercuze est aujourd'hui vide. Il n'y aura donc pas de Scop Ecopla.
Ce qui conduit l'Union régionale des Scop à s'engager pour la promulgation d'une loi, avec l'appui de professionnels de la prévention et du retournement et de spécialistes en droit.
Avec cette loi, l'Union souhaite mettre en avant deux points : un accompagnement renforcé en cas du déclenchement du droit d'alerte des salariés et/ou des instances de représentation du personnel. Et le critère de sauvegarde de l'emploi en cas de liquidation comme dans le plan de cession.
La suite après les élections présidentielles.
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