Réalisée auprès de quatre investisseurs (Innovacom, Demeter, Rhône-Alpes Création et R2V), la levée de fonds doit permettre à I-Ten de lancer la phase d'industrialisation de ses produits, « visant à révolutionner le stockage d'énergie dans les circuits électroniques ». Un produit innovant que l'entreprise lyonnaise développe depuis 4 ans, en collaboration avec l'ENS Lyon et le laboratoire interdisciplinaire Carnot de Bourgogne. Le fabricant de micro-batteries a mis au point une micro-batterie compacte qui stocke dans un même espace, 10 fois plus d'énergie que les technologies existantes, et s'adapte « facilement » aux circuits électroniques existants. De quoi ouvrir le champ à de nouvelles applications dans le domaine de l'internet des objets notamment, assurant ainsi l'autonomie énergétique des petits dispositifs connectés.
Grâce à cette première levée de fonds, la start-up, incubée chez Créalys (aujourd'hui devenue la SATT Lyon-Saint-Etienne) passe de la phase de recherche à celle du développement industriel. Pour aboutir dans 18 à 24 mois à la réalisation de pré-séries.
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